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Planqué's Grand Red Characters

 
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jecht
gardien des vauriens


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MessagePosté le: Mar Juil 19, 2005 11:03 am    Sujet du message: Planqué's Grand Red Characters Répondre en citant

voila, une nouvelle rubrique viens de s'ouvrir

vous connaissez Planqué's tale, je suis sur que vous l'avez tous lu et que vous pourrier nous citer 3 page complete comme ca par coeur;

mais qui y'a t'il au dela de ce grand récit?

qu'elle est l'histoire de ses personnages?

c''est ce que vous découvrirer bientot...
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jecht
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MessagePosté le: Mar Juil 19, 2005 11:04 am    Sujet du message: Répondre en citant

(ecrit par zoamel)

La naissance de Migy

Il était une fois, il y a fort longtemps. 3472 ans, 2 mois, 3 semaines et 1 jour exactement. Bon en fait, c’est tellement précis que le « il était une fois » semble inutile, mais ça fait toujours plus classe de commencer par ces quatre petits mots là.
Donc cette histoire commence un mardi 12 juillet, enfin ce jour est relatif puisqu’à l’époque, le calendrier n’était pas le même. En bref, ce qu’il faut savoir, c’est que cette histoire débute en plein été. Je me demande juste si cette information sera utile dans la suite. Enfin on verra bien.
En ce jour radieux, plongeons nous un peu plus en avant et entrons dans l’atelier d’un tailleur, nommé Yackin Klein. Ce yack, humble artisan, effectuait, jour après jour, son métier avec rigueur et passion. Les pagnes et les tuniques Yackin Klein étaient en effet très réputées et valaient, il faut le reconnaître, relativement cher. Tout le monde ne pouvait pas se permettre de porter du Yackin Klein.
Mais tout n’était pas si rose pour cet artiste et les affaires étaient de moins en moins bonnes. A ce rythme là, jamais il ne pourrait avoir une piscine olympique dans son jardin.
Il ne restait plus qu’une solution à Yackin, il devait partir à la recherche de la cause de ces mauvais résultats.
Il prit alors son baluchon, embrassa sa femme et partit en direction de la grande ville, avec la résolution de savoir pourquoi ses produits ne se vendaient plus.

-hé ho, hé ho, je vais sauver mon boulot, hé ho, hé ho, hé ho, hé ho, je vais sauver mon boulot.

A peine arrivé dans la capitale : Yackopolis, Yackin eut sa réponse très rapidement. Personne ne portait de Yackin Klein et comme il n’existe pas encore de caleçon Yackin Klein….
Mais à l’inverse, si personne n’arborait ses produits, il découvrit un logo qui ne connaissait pas, mais qu’on apercevait partout : un animal à corne sautant au dessus de quatre lettres UONG. Yackin se précipita alors vers la vitrine du premier magasin de pagne venu et fut abasourdit. Où était passé les zéros. Comment pouvait-on faire des vêtements à si bas prix. Ce n’était même pas le coup des matière premières. Jamais Yackin ne pourrait concurrencer de tel tarifs. Sa vie de tailleur était finie. Comment réussirait-il a liquider le stock de botte en soie d’araignée qui encombrait sa cave.
Abattu, pleurant sur son triste sort, à moitié au bord du suicide, il se résolu à rentrer chez lui et annoncer la mauvaise nouvelle à sa femme.

-hé ho, hé ho, j’ai perdu mon boulot.

Chemin rentrant (j’ai rencontrer mon père…. STOP, y’a des enfants qui vont lire cette histoire, ne va pas plus loin dans la chanson), Yackin entendit une explosion au loin. Il tourna la tête vers le lieu de l’explosion et aperçu une colonne de fumée.
Il se mit à courir vers cet endroit. Durant sa course il entendit d’autres explosions et la colonne de fumée avait encore grossie. Pour finir, il déboula dans une immense clairière, qui avait été bien plus petite la veille encore. Et plus verte aussi. Au centre se tenait un jeune yack et tout autour se trouvait des… tas de cendres. Yackin fut fort en peine de reconnaître tout ce beau monde. Il n’avait jamais vu le yak auparavant et aucune de ses connaissances n’avait une forme conique et le teint grisâtre.

-vous aller bien jeune yack ? demanda Yackin.
-teuf teuf, toussa le jeune yack. C’est toujours le même problème avec les boules de feu. Ça fait toujours des tas de cendre et après je tousse pendant une semaine.
-mais euh, c’était quoi avant ces tas de cendres ?
-des ours.
-bon alors question suivante, comment passe-t-on d’un ours à un tas de cendres ?
-j’ai passer tout ma vie dans une Yackasserie de l’Himalaya. Là, j’ai appris les techniques magique secrètes et les boules de feu n’ont plus de secret pour moi. Je suis actuellement en voyage d’apprentissage afin de parfaire mes techniques.
-mais….mais… mais la voilà ma solution. Je vais créer des objets avec des pouvoir magiques. Je serais le seul, aucune concurrence. ma fortune est assurée. Je finirai par l’avoir ma piscine.
-Mais de quoi tu me parle ? s’étonna le jeune inconnu.
-mais de mon travail de tailleur. Une nouvelle marque viens de débarquer et elle propose des prix défiants toutes concurrences. Je suis ruiné si je ne diversifie pas.
-une nouvelle marque ?
-oui, la marque UONG. A cause d’elle plus personne ne porte de Yackin Klein.
-alors c’est vous Yackin Klein, ravis de vous rencontrer. J’ai pas mal de truc de vous. Très bonne qualité. Je n’ai jamais été déçu.
-oui mais les produits UONG sont presque cent fois moins cher que les miens, donc évidement je ne vend plus rien.

Le jeune inconnu prit alors un morceau de parchemin dans son sac et se mit à griffonner un truc dessus, avant de le sceller et de le tendre à Yackin.

-tenez, prenez ceci. Allez le porter à la Yackasserie de la corne d’or et donner ce mot au grand chef en lui précisant que c’est de ma part. il vous enseignera alors les bases de l’enchantement.
-tailleur/enchanteur. Ça m’a tout l’air d’un bon duo de profession.

Yackin attrapa alors le parchemin et se mit à courir en direction de chez lui.

-merci beaucoup monsieur, dit-il. Monsieur qui au fait ?
-Portequoy.
-Merci Portequoy. Hé ho, hé ho, je vais être un mago.

Arrivé chez lui, 15 minutes d’explication avec sa femmes, 3 kilo d’assiettes pulvérisés contre le mur, une soupière en morceau et un acte de divorce signé (et oui, tout ça en 15 minutes, mais la magie ça n’attend pas ) et Yackin se retrouva sur les routes avec seulement ce qu’il portait sur lui et le peu d’argent qui traînait sur le buffet et qu’il avait réussi à empocher avant de sauter à travers la fenêtre poursuivit par une table à repasser (quelle idée aussi dans des moment pareil de demander la garde du 16/9e).

Le premier acte de Yackin en tant que nouveau SDF fut un achat. L’achat d’un atlas mondial. En effet, il eu beau demander la direction de la Yackasserie de la corne d’or, il ne récolta aucune information intéressante.
Donc en sortant de la carterie, il chercha l’Himalaya, ce qui ne fut pas trop dur à trouver, même un demeuré serait capable de localiser la plus grande chaîne de montagne du monde, surtout quand y’a son nom marqué dessus.
Mais même après deux heures passées à explorer chaque centimètre carré de la carte, il ne trouva pas la moindre corne d’or.
-c’est bien ma veine, j’ai presque pas d’argent, je pensai faire un bon investissement avec cette carte et tout ça pour rien. Je me demande s’il ne s’est pas tout simplement foutu de ma gueule ce Portequoy.

Yackin sorti alors le parchemin de sa poche, prêt à le balancer dans la première rivière venue, lorsqu’il remarqua un petit bout de papier dépassant du rouleau. Il retira le petit bout de papier, le déplia et lu.

« salut ! c’est Portequoy. Non, non, je ne me suis pas fichu de ta gueule, j’ai laissé ce petit mot car je me doute que la Yackasserie n’est indiquée sur aucune carte. J’espère seulement que tu aura trouvé ce mot avant de faire la bêtise d’en acheter une. Quoi ? tu as déjà acheter un atlas mondial ? bouah bouah bouah ! c’est malin, surtout que je suis sûr que tu t’es fait jeter de chez toi sans le sou. »

-mais comment qu’il a pu écrire tout ça sur un petit bout de papier ? ça continu encore.

« bon je n’ai plus beaucoup de place sur le papier alors je vais faire court. Pour trouver la Yackasserie de la corne d’or, tu doit tout d’abord te rendre… aux pieds de l’Himalaya »

-Waouh ! quelle surprise…

« oui, je sais, waouh quelle surprise. Mais on sais jamais, ça peut ne pas être évident pour tout le monde. »

-…

« oui, oui, …, enfin bon. Dirige toi tout d’abord vers la ville de Yackmandou. de là, place toi à la porte nord de la ville et après voici ce qu’il faudra suivre.
-12076 pas, plein nord
-quart de tour sur la gauche
-712 pas plein ouest
-quart de tour sur la gauche
-594 pas plein sud
-quart de tour sur la gauche
-1213 pas plein est
-quart de tour sur la gauche
-28381 pas plein nord
-quart de tour sur la gauche
-tu toque à la porte.

PS : les mesures de pas ont été faites avec mes pas. Je fais du 74 fillette. Si toi non, essaye d’ajuster tes pas sinon tu vas jamais y arriver.
Et bonne chance, surtout pour ton entraînement. Le chef est beaucoup plus sadique qu’il n’en a l’air. Et pour tout dire il a déjà l’air très sadique. »

Bon, je vais vous épargner le voyage qui, mine de rien, durera longtemps, très longtemps et en fait sans rien de particulier. Ah si ! un petit air que l’on connaît bien à permis a Yackin de rester motiver une fois débarqué sur l’Himalaya.
-hé ho, hé ho, il fait vraiment pas chaud.

(parce que si vous vous rappelez bien, cette histoire à débuter en été. Mais là avec le voyage, on arrive en plein hivers, et l’hiver dans l’Himalaya…. Brrr. Incroyable, l’information sur le fait que l’histoire commence en été à réellement servit. J’en suis le premier surpris.)

-Toc toc, fit le butoir (en forme de tête de Yack, mais sans les cornes) sur une porte gigantesque (deux battants, 4 mètres de haut sur 3 de large. Bon c’est peut être pas aussi gigantesque que ça mais bon)

10 minutes après et un nombres d’ouverture de serrures impressionnante, la porte s’ouvrit, laissant dépasser la tête d’un yack tondu :

-oui ? c’est pour quoi.

La surprise passé et le fou rire contenu, Yackin fit sa demande.

-bonjour, mon brave, je désire parler à votre chef. J’ai un message pour lui de la part d’un certain Portequoy.
-très bien, entrez, vous étiez attendu.

La porte s’ouvrit alors entièrement et Yackin pu jeter un coup d’œil sur la cour que la porte masquait. Le spectacle le plus étrange qu’il ait jamais vu s’offrit alors à lui.
Dans un coin, trois yacks se tenaient, les jambes croisées, à l’envers, la tête reposant sur une souche d’arbre. Six autre s’entraînaient au combat. Quatre, à mains nues. Yackin fut autant impressionné par le fait qu’il ne pu distinguer les coups à cause de leur vitesse, que par les bond de sept mètres de haut de certain ou encore par une certaine aptitude de d’autre à atteindre les toits en marchant sur les murs. Les deux autres combattants, eux, étaient armés, mais jamais Yackin n’aurait cru possible de se battre avec des épées de cette taille. Il aurait déjà été en peine de les soulever.

-et vous êtes nombreux à vivre ici ? demanda Yackin.
-une petite cinquantaine en général. Mais là, une grande partie des occupants sont absents. Ils sont en randonnée pour quelques jours. C’est donc relativement calme aujourd’hui.
-une randonnée ? mais il fait –15°C au plus chaud de la journée.
-oui, je sais, c’est beaucoup trop chaud. C’est pourquoi il ne marchent que la nuit. Il font l’escalade des plus hauts sommets de la région.
-…
-oui je sais, mais ça vous forge le caractère. Enfin, ce n’est pas tout ça, suivez-moi, le chef vous attend et il n’est pas du genre patient.
-et sinon, j’aurai une autre question. J’ai vu plusieurs statues et autres décorations tel que le butoir de la porte. Ils représentent une tête de yack, mais où sont passées les cornes ?
-vous connaissez le nom de cet endroit ?
-la Yackasserie de la corne d’or ?
-oui. On a subit nombre de pillage depuis des siècles. Je pense que les voleurs ont d’ailleurs été fort déçu. Nous ne sommes pas riche, l’or des cornes, c’était juste de la peinture. La structure était en simple bois. Ils n’ont pas du en tirer beaucoup d’argent. Mais nous y voilà.

En effet, ils venaient d’arriver devant une petite porte, pas en bois ni en fer. Mais en papier tendu sur un quadrillage de bois (vous savez, comme dans les maisons traditionnelles japonaises, les portes coulissantes à travers lesquelles on peut parfois distinguer l’ombre de la personne qui se tient derrière. Enfin une porte qui à la classe quoi. Mais comme c’est celle du chef c’est normal vous ne pensez pas ?). Donc avant que la porte ne s’ouvre, Yackin pu distinguer à travers une petite silhouette assise et plutôt maigre.

-le visiteur est là, maître.
-fait le entrer et retourne garder la porte d’entrée.
-bien maître. Et chuchotant à Yackin, bon courage, il s’agit sans doute de l’épreuve la plus dure de votre vie mais je suis sûr que vous y arriverez.
-je t’ai entendu Raymond, dit le chef à travers la porte. Retourne à ton poste tout de suite et tu sera privé de repas pendant trois semaines pour avoir tenu des propos diffamatoires sur ton chef.
-oui maître ! répondit Raymond avant de s’incliner et de foncer à son poste en marche arrière.
-entre Yackin, je t’attendais depuis un moment déjà.

Et Yackin ouvrit la porte et pénétra dans la salle du maître. Celui-ci se trouvait en son centre, assis en tailleur sur un petit coussin de soie bleue. Il ne portait rien d’autre qu’un simple pagne de fourrure, tellement usé que Yackin, pourtant tailleur, aurait bien été incapable de deviner l’animal d’origine. Une ceinture avec la tête d’un yack à corne d’or sur la boucle et un bandana avec marqué en gros « maître ». La pièce, elle, était quasiment vide. Elle contenait seulement une table basse avec un bonzaï en son centre, un petit frigo et un tas de bouquins posés même le sol. Une simple petite fenêtre ronde éclairait la pièce, donnant aussi par la même occasion une vue imprenable de la cour de la Yackasserie. Le maître avait l’air vieux. Yackin lui aurait donné l’âge de sont arrière arrière arrière grand père et encore. Mais surtout, il gardait les yeux fermés et avait l’air de dormir.

-euh bonjour, osa Yackin d’une voix tremblante. Je m’appelle Yackin Klein et je viens de la part de…
-assis toi, dit le vieux d’une voix forte et autoritaire. Le genre de voix auxquelles ont se sent obligé d’obéir sous peine de voir sa vie finir précipitamment.
-euh… d’accord. Donc comme je le disais, j’ai sur moi un parche…
-donne le moi.

Et Yackin obéit. Il tendit le bout de parchemin que le maître saisit d’une mains ferme. Il le déroula et se mit à lire.

-euh…excusez moi encore une fois. Mais ça ne serait pas plus simple de lire les yeux ouverts.
-je suis aveugle, donc ça ne changerai rien.
-euh…
-mais ne t’en fait pas, mes yeux ne me servent à rien, je peux très bien m’en passer.
-vous voulez dire que vous avez dépassé la condition humaine ? vous savez surexploiter vos sens à tel point que vous ressentez le parchemin et arriver à le comprendre directement avec votre esprit ?
-pas vraiment non. C’est simplement écrit en braille sur ce parchemin.
-…. (bruit d’un mythe qui s’effondre)
-bon en tout cas, j’aimerais savoir pourquoi tu as mis aussi longtemps à venir. Cela fait plus de six mois que tu as rencontré Portequoy. Tu faisais du tourisme ou quoi ? Sache que je ne suis pas très patient. Encore un peu et je ne t’aurai plus accueillit.
-les indications de Portequoy pour trouver ce lieu étaient valable en été, mais en hiver, avec la neige, j’ai eu un mal fou à m’orienter.
-quoi ? tu as suivi les indications de Portequoy. Mais il n’a aucun sens de l’orientation. Un jour il s’est perdu dans son propre placard. En fait je suis maintenant plutôt impressionné que tu sois arrivé jusque ici.
-vous allez donc m’enseigner la magie ?
-la magie non. Parce que par magie, nous entendons la magie de combat, avec des sorts d’attaques. Tu est beaucoup trop vieux pour commencer cet apprentissage et je n’ai pas l’impression que tu ai les moindre prédisposition pour ce domaine.
-ah ?
-mais ne t’en fait pas, peu de gens en ce monde arrivent à maîtriser la magie d’attaque.
-alors vous allez m’apprendre quoi ?
-l’enchantement. C’est une sorte de magie certes, mais appliquée sur un objet. La magie de combat crée une forme à partir de rien. Le sort se forme dans l’air juste à partir de mana pur. C’est très difficile à réaliser. Au contraire, l’enchantement est lui aussi basé sur le mana, mais le principe est d’insérer, de faire fusionner ce mana avec un objet ou une forme vivante afin d’améliorer ses capacités. D’après le mot de Portequoy, c’est ce que tu désire non ?
-oui, mon but dans la vie est de concurrencer cette nouvelle marque de vêtements et pour cela je veux créer des vêtements magiques.
-une nouvelle marque de vêtements ?
-oui, la marque UONG.
-quoi ?
-oui, et avec leur prix vas, ils sont en train de conquérir tout le marché du textile.
-je ne laisserai pas passer ça. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour t’aider Yackin.
-merci de prendre mon rêve autant à cœur.
-mais ton rêve n’a rien à voir là dedans triple buse. La marque UONG. Si tu la lit à l’envers ça fait GNOU. (et un triple hourra pour les boulets qui avaient pas encore fait le rapprochement. Comme punition vous me copierez 1000 fois : « les yacks sont les plus beaux et les gnous sont des gros salauds. Et vous me ferez le plaisir de relire Planqué’s tales aussi). Alors comme ça les gnous essayent une nouvelle fois de pénétrer notre territoire. Cela fait des siècles, voir des millénaires, que nos race sont ennemies. Mais je ne doute pas que tu sache déjà cela. Ce que tu ne sais sans doute pas c’est que les gnous essaient régulièrement d’envahir notre patrie. Ils n’y sont jamais parvenus jusqu’à aujourd’hui car ils s’acharnaient à utiliser la manière forte. Et même avec leur supériorité numérique, nous avons toujours réussi à les repousser. Mais tout ces évènements sont tenus secrets. Imagine que la population apprennent que nous courrons un danger permanent. Ça serait la folie dans les grandes villes et la fin de notre civilisation telle que nous la connaissons.
-à ce point ?
-oui, tu n’imagine même pas les ingéniosités dont sont capables ces vils créatures. Une fois ils se sont fait passer pour un groupe de musique. Mais nous les avons démasqué. Nous ne sommes pas dupes, feuille de vigne ou pas feuille de vigne. Une autre fois c’était dans un film. Ils ont voulu directement prendre pour cible notre jeunesse. Dans le film, à un moment, on voit le jeune héros, un gnou, poursuivit par une horde de lion dans un canyon. Et le papa gnou, il meurt en voulant sauver son fils, trahit par son frère qui voulait devenir chef des gnous à la place du chef des gnous. Très triste comme scène. Mais nous avons flairé le traquenard et avons arrêté la diffusion du film.
-tout de même. Et vous pensez qu’il s’agit là aussi d’une affaire similaire ?
-oui, j’en suis sûr. Je suspecte une manœuvre pour affaiblir notre économie et ensuite lancer une action de plus grande envergure. Nous allons donc prendre le gnou par les cornes et mettre fin à leur action. Mais il faut agir vite. Je pense donc qu’il est nécessaires de te faire subir l’entraînement intensif d’enchanteur en 2 jours D’ici à après demain, je pense que tu pourra être capable de créer des objets suffisamment puissant et intéressant pour investir le marché du textile et le récupérer.
-en 2 jours seulement. Vous voulez dire qu’il ne faudra que 48 heures pour apprendre tout ce qu’il faut sur l’enchantement ?
-oui. Ça te semble trop long ?
-non non, bien au contraire. Je pensai qu’il fallait des années pour y arriver.
-oui, c’est ce qu’il faut normalement. Mais là, nous n’avons pas des années devant nous. Mais je doit te dire. L’entraînement en 2 jours comporte certains risques.
-comment cela ?
-en fait le principe de l’enchantement ordinaire est que tu acquière par toi même le savoir et la technique. Là, je vais directement inscrire ces savoirs en toi. Il y a des risques de rejet de la part du cerveau.
-et quels sont les risques ?
-comas de durée indéterminée, amnésies partielles passagères. Ce genre de choses quoi !
-c’est tout ? et tout ça pour gagner des années ? j’accepte de suivre l’entraînement spécial alors.
-très bien suis moi alors.

Sur ce, les 2 se levèrent et le maître (non non je ne vous dirais pas son nom. Il faut que vous le méritiez) se dirigea vers une petite porte à gauche dans le couloir.
Avant que le maître n’ouvre la porte, Yackin avait déjà imaginé la pièce qui se situait derrière, et toutes les versions que son imagination avait inventé contenait plus ou moins de bordel et les dimension de la salle était toujours respectable. Il fut donc affreusement déçu, quand, regardant au delà de la porte ouvert, une petite pièce de 2 mètres sur 2 complètement vide.

-entre Yackin, la cérémonie va commencer immédiatement. Assis toi au centre de la pièce, ferme les yeux et ne pense plus à rien.

Et ainsi fit Yackin. Pendant qu’il se mettait en place, le maître entama la conversation avec le garde en faction devant la petite pièce.

-bon, tu sais ce que je me prépare à faire et tu sais ce qui peut arriver. Dans tous les cas, je te demande de ne laisser entrer personne dans cette pièce durant les 46heures à venir.
-très bien maître. Mais êtes vous sur que cela soit nécessaire, les risques sont grands quand même, il a malgré tout accepté ?
-je lui ai fait la liste des dangers encourus dans cette cérémonie. Il a dit qu’il s’agissait de bien peu de chose face au gain de temps qu’elle permet.
-et même le fait que la cervelle risque de lui ressortir par les yeux à une vitesse telle que les 3 mètres d’épaisseur du mur ne seront sans doute pas suffisant à la stopper.
-j’ai peut être eu un blanc à l’évocation de ce danger là….. mais ne t’en fait pas, tout va bien se passer. Ait confiance.
-c’est vous le maître, maître.
-à dans 2 jours alors.

Et la porte se referma alors sur le maître et Yackin.
(je me demande encore si je doit vous raconter le déroulement de la cérémonie. En effet, vous l’avez lu, celle-ci comporte de gros risques. Mais je pense que vous êtes des personnes sensées et que vous ne ferez pas de bêtises. Mais surtout je m’adresse au jeunes qui pourraient lire ce récit. Nos personnages sont des êtres exceptionnels. Vous de devez en aucun cas tenter cela chez vous. Et en plus imaginer les problèmes que cela pourrait poser si tout le monde se mettait à faire des vêtements enchantés. Le marché du textile ne s’en remettrait jamais. Mais revenons à notre histoire)

une fois la porte refermé, les 2 occupants de la petite pièce se retrouvèrent dans le noir complet. Le maître fit jaillir de ses mains une petite boule de feu qui se mit a tournoyer au dessus de sa tête fournissant un peu d’éclairage. Le maître se dirigea alors vers un des murs et l’ouvrit. Du petit placard (diablement bien caché quand même) il sortit 4 braseros qu’il alluma et plaça aux 4 coins de la pièce. Il sorti ensuite un pot d’encre et un petit pinceau avec lesquels il se mit à tracer toute sorte des symboles sur le sol, les murs et même le plafond. (je ne décrirait pas ces symboles plus en détail, comme ça j’ai une sécurité de plus que vous ne prendrez pas le risque de refaire cette cérémonie chez vous, tout ce que je peut dire c’est qu’il se composent principalement d’octogrammes et symboles cabalistiques d’une langue inconnue, sauf pour le maître et peut être quelques autres maîtres. Et tous ces symboles ont pour centre Yackin.)
Intérieurement Yackin était tout excité, et surtout vraiment impatient. Comme l’avait demander le maître, il s’était assit au centre et était resté silencieux. Mais les préparatifs du maître ont bien dut durer 2 heures, et 2 heures à attendre quand on entend quelqu’un s’agiter autour de vous sans rien pouvoir faire autre chose qu’attendre vous mets sérieusement les nerfs à vifs en général. Mais heureusement pour notre Tisseur, le maître prit la parole.

-bon Yackin, les préparatifs de la cérémonie sont prêt. Les choses sérieuses commencent.

(et pis en fait non, je pense qu’il y a trop de risque à vous révéler la suite, donc je vais en venir directement à l’essentiel. Et ne râler pas, je n’ai pas envie que vous ayez des problème par ma faute. Imaginez juste que pendant ces 2 jours le maître à pas mal dansé, prononcé différents textes incompréhensibles et passé un bon moment en profonde méditation. Non non, je ne vous dirai pas avec quelles entités supérieures il était en communication.)

donc, 46 heures plus tard, la voix du maître se fit entendre dans la petite pièce, appelant le garde en poste devant la porte. Le garde ouvrit alors la porte et contempla le spectacle.

Le maître était assis contre un des murs, dans un état de faiblesse prononcé et ca devait dans un dernier sursaut d’énergie qu’il avait réussi a appeler le garde. Yackin, lui se trouvait toujours assit au centre de la pièce. Une aura blanche et brillante l’entourait, aveuglant a moitié le garde. Celui-ci s’agenouilla alors aux pieds du maître.

-tout va bien maître ?
-oui, répondit-il d’une voix quasi inaudible. La cérémonie s’est bien passé. Le sujet devrait reprendre conscience de lui même d’ici quelques minutes. A ce moment là, conduit le à une chambre vide et dit lui de dormir. Il va avoir besoin de toutes ses forces pour la suite. Et moi, conduit moi à ma chambre. J’ai grand besoin de repos. Ce n’est plus de mon âge toutes ces choses.

Ainsi fut dit, ainsi fut fait. 2 jours passèrent avant que le maître ne se réveille.

-enfin maître vous vous réveillez. Nous étions tous inquiet de vous voir dans cet état. Nous nous demandions même si vous alliez vous réveillez un jour. Les paris vous donnait perdant à 4 contre 1. j’ai gagné on dirait et j’en suis bien content.
-veille à faire punir sévèrement ceux qui ont pariez contre moi, je m’occuperai de leur cas plus tard. Pour le moment fait moi mander un petit déjeuner digne de ce nom et Yackin Klein.

Yackin Klein fut le premier des deux commandes à entrer dans la chambre du maître.

-te voilà, Yackin. Alors tu t’es bien remis de la cérémonie ?
-oui je ne me suis jamais senti aussi bien. Je sens une espèce de chaleur intérieure. C’est la première fois que je ressent ça.
-c’est le pouvoir magique. Il t’a été inoculé de force. Il va falloir un peu de temps pour que ton organisme s’y habitue. Mais dès que j’aurai pris un petit déjeuné, je viendrai continuer ton enseignement. Je te montrerai comment créer des objets enchantés. En attendant, va demander à l’intendance une tenue plus appropriée. Tu es maintenant un élève de ce temple. Il te faut le costume.
-vous voulez dire que moi aussi je vais devoir porter ces espèces de tuniques blanches sans aucune originalité ni style.
-tout à fait, mais ne te moque pas de ces tuniques. Le fondateur de notre ordre la portait en permanence. Le tissu est très résistant. il résiste à n’importe quelle boule de feu, ne tache pas, sèche rapidement, n’a pas besoin d’être repasser et se lave à 30°C et ne nécessite pas d’adoucissent.
-tout ça ?
-oui, mais elles sont enchantées, donc ça n’est pas très étonnant. Mais pour débuter l’entraînement nous allons quand même commencer avec quelque chose de plus simple. Aller va t’habiller, je te rejoins bientôt.

Et Yackin sorti en direction de l’intendance, laissant le maître libre de se ruer sur les croissants.

15 minutes plus tard et une nouvelle tunique sur les épaules, Yackin attendant avec impatience le maître dans la cour de la Yackasserie.

-alors Yackin, dit le maître, s’avançant vers lui. Tu es prêt à créer ton premier objet magique ?
-oh oui alors.
-donc pour ton premier essai, j’ai choisi quelque chose simple.
-c’est quoi, c’est quoi ????? dit Yackin, ne maîtrisant plus son impatience.
-c’est un………………………… (roulement de tambour )…….. gant de toilette.
-beuh, fit Yackin, visiblement fort déçu. C’est tout. Mais ce n’est pas avec ce genre de chose que je vais conquérir le marché du textile.
-que nenni. Il faut commencer simple. Pour ton premier essai, tu vas simplement essayer de rendre ce gant de toilette capable d’éliminer toutes sortes de taches, sans avoir besoin de savon.
-mouais, allons y alors. Et comment je m’y prend.
-simple. Tu tiens l’objet entre tes deux mains que tu vas ensuite placer devant ton visage. Ensuite tu te concentre. Tu imagine l’objet que tu veux obtenir à la fin. Puis, tu laisse la magie sortir et tu la dirige vers tes mains, puis vers l’objet.
-d’accord. Essayons alors.

Et Yackin s’assit. Une foule de yacks s’étaient d’ailleurs regroupés autour de lui et du maître afin de voir le résultat de l’entraiment en 2 jours. C’était la première fois que quelqu’un y survivait et évidement tout le monde était fort curieux de connaître les possibilités de Yackin.

Yackin, lui, réfléchissait fortement. La demande du maître était trop banale. Il voulait montrer qu’il était sûr de ses compétences. Mais surtout il voulait impressionner le maître pour passer rapidement à des choses plus intéressantes.

Au lieu de simplement faire un gant de toilette super détachant, pourquoi ne pas aller plus loin. L’idée était là. il allait créer un gant de toilette qui, en plus d’éliminer les taches, resterai toujours propre et toujours humide. Il n’irriterai jamais la peau, quelqu’elle soit. Non mieux, il pourrait laver lui même les taches. Il bougerai tout seul, il suffirai simplement de lui demander quelle partie du corps laver. Oui, ça c’était une grande idée. Yackin plaça alors le gant entre ses mains, devant sont visage et imagina l’objet à créer. L’image était claire dans sa tête, il se concentra sur la libération de la magie qu’il dirigea vers ses mains et l’objet. Mais ne tout ne se passa pas comme il l’avait prévu.
Au yeux des yacks autour de Yackin, tout semblait se passer. Mais le maître lui sentit que quelque chose ne se passait pas bien. Il se jeta sur Yackin afin de l’arrêter, mais au moment ou ses mains allait attraper le gant de toilette qu’une énorme aura jaillit de tout le corps de Yackin, aveuglant tout le monde et propulsant le maître dans la foule de yacks. Mais le phénomène ne dura pas longtemps, la lumière disparu aussi vite qu’elle était apparue, enfin presque.

Le maître se releva quasi immédiatement, arracha le haut de la tunique du yack le plus proche et se jeta sur le gant de toilette.

-mais que s’est t’il passé maître ?
-je n’en suis pas sûr, mais à mon avis Yackin a voulut trop bien faire. Regarder.

Et le maître leva le morceau d’étoffe qui luisait d’une lueur blanche.

-c’est le gant de toilette qui brille comme ça. Il est chargé de magie. Qui sait quels sortes de pouvoirs il a acquit. Mais comment va Yackin.

Un des Yack se pencha sur le corps inanimé du tailleur et se releva secouant la tête.

-il n’y a plus rien a faire. Maître. Il est mort.
-c’est bien ce que je pensai Yackin n’a pas voulut se contenter d’un simple gant de toilette super détachant. Il a voulu lui donner d’autres pouvoir. Mais comme il s’agissait de son premier essai, il n’a pas su doser la quantité de magie à injecter à l’objet. Et semble qu’il ait vider la totalité de sa magie dans le gant de toilette. C’est la trop grande quantité de magie dans sont corps qui l’a tuer. L’organisme n’a pas supporter le trop plein d’énergie et le cœur à cédé. Mais la première chose à faire est de prendre soin de ce gant de toilette, il est non seulement le seul souvenir que nous a laissé Yackin, mais la surcharge de magie lui à sûrement conféré des capacités hors du commun. Il va falloir recourir à des tests poussés, mais avec une prudence extrême. Qui sait ce qui peut arriver.
-maître, vous ne pensez pas qu’il faudrait faire quelque chose de plus pour Yackin.
-oui tu a tout à fait raison. Nous devons l’enterrer selon la tradition, il était un des nôtres. Mais surtout, j’estime qu’il faut donner un nom à cet objet. C’est plus qu’un gant de toilette. Et les objets hors du commun possède un nom.
-il faudrait un nom qui ai un rapport avec la main, c’est un gant de toilette, c’est un objet que l’on pose sur la main.
-alors appelons le Migy. Proposa le maître. Yackin était droitier. Migy ! Qu’allons nous faire de toi.



Ceci met fin au premier chapitre des aventures de Migy. Dans la suite, vous découvrirez comment Migy s’est retrouvé dans le coffret. Mais ne soyez pas trop impatient quand même .
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